défis rps

(d) "il suffit que je te regarde pour que ça revienne. Il suffit que je te regarde dans les yeux et je me sou... Je me sens chez moi."
(d) "Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez d'un trait jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager."
(d) "Quand je pense que je me suis donné tant de mal pour rien ! Nom d'un chien, ces chats ne l'emporteront pas au paradis..."
(d) "Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin."
(d) "Nous nous sommes promenés, et nous avons parlé ensemble.
Et juste avant de nous quitter, eh bien...  Il, il m'a pris dans ses bras... Et alors... Je me suis réveillée."
(d) "Regarde ça, regarde ça ! Chaque fois que j'déprime ça m'déplume !!"
(d) "C'est à moi que tu parles ? C'est à moi que tu parles ? On m'appelle MONSIEUR porc."
(d) "Je n’avais pas vu autant d’amour depuis que Narcisse s’était découvert lui même !"
(d) "Oh père, tout cela est très démodé. Nous sommes au 14ème siècle !"
(d) "L'espoir c'est comme un oiseau bleu, on l'aperçoit de loin, il est dans le ciel tout comme l'étoile du berger, on ne peut ni l'acheter, ni l'enfermer dans une cage, mais il est là tout de même, et grâce à lui, un jour tout s'arrange !"
(d) "Je suis une demoiselle, je suis en détresse, et je m'en sortirai seule. Alors bon vent."
(d) "Ils sont incapables de reproduire mon nez !"

(f) "Un jour tu verras, ton cœur chantera et tu comprendras."
(f) "L'amour est un chant éternel, il fait tourner le monde."
(f) "Tu vois ce moment entre le sommeil et le réveil, ce moment où on se souvient d'avoir rêvé ? C'est là que je t'aimerai toujours, c'est là que je t'attendrai."
(f) "Tu sais, « pour toujours », c’est un temps très très long. Et le temps a une façon bien à lui de changer les choses... "
(f) "Le courage n'est rien sans sagesse."
(f) "J'adore la perfidie de ton crâne de piaf !"
(f) "Je viens à peine de vous rencontrer, et je vous aime déjà !"
(f) "Yo, la carpette ! Je t'ai pas vu depuis des milles et de sangs. Serres moi donc le pompon."
(f) "Pourquoi te sens-tu menacé par ceux qui sont différents de toi ?"
(f) "Hé, t'es complètement fou ! Je vais pas me déguiser en vahiné !"
(f) "Cadeau d'anniversaire de moi à moi. Ah, comment me remercier ?"
(f) "Ça suffit! J'en ai assez de ta constipation émotionnelle!"
(f) "Qu'il est choux ! On dirait un tout petit bébé licorne"
(f) "Quand le monde te persécute, tu te dois de persécuter le monde."
(f) "Tout le monde pense que je suis merveilleux !"
(f) "Est-ce que je t'ai déjà dit que j'avais un faible pour les brunes ?"
(f) "Ohana signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié."
(f) "Le passé c'est le passé Darling, ça parasite le présent !"

(d) "Moi, quelqu'un qui peut jouer à dada sur le dos d'une furie, je dis : respect."
(d) "Bon sang, on dirait une vielle maman chèvre."
(d)
(d) "Je ne savais pas d’où me venaient ces paroles en latin. Je crois que ça signifiait : « Bouffe mon froc ! »"
(d) "Les monstres ne meurent pas. On peut les tuer mais ils ne meurent pas.
-Ah d'accord. Ça explique tout."" (dialogue, on complique la chose)
(d) "Ne cherchant pas à comprendre le danger que pouvait provoquer un écureuil, je pris mes jambes à mon cou, terrifié."
(d) "Les lions ne pactisent pas avec les hommes."
(d) "La paix c'est bon pour les femmes, et les faibles. Les empires sont forgés par la guerre."
(d) "L'abîme de l'éternité nous hante. Ainsi, s'interroge-t-on : nos actes retentiront-ils à travers les siècles ? Des inconnus entendront-ils notre nom bien après notre mort et se demanderont-ils qui l'on était, si l'on bataillait avec bravoure, et si l'on aimait avec fougue ?"
(d) "Tu n'auras plus d'yeux ce soir, ni d'oreilles, ni de langue. Tu vas errer dans les Enfers aveugle, sourd et muet."
(d) "Les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés."
(d) "Il fallait comprendre qu'on ne peut pas toucher à l'eau, à la belle et fuyante eau froide parce que cela mouille les dalles, à la terre parce que cela tache les robes. Il fallait comprendre qu'on ne doit pas manger tout à la fois, donner tout ce qu'on a dans ses poches au mendiant qu'on rencontre, courir, courir dans le vent jusqu'à ce qu'on tombe par terre et boire quand on a chaud et se baigner quand il est trop tôt ou trop tard, mais pas juste quand on en a envie ! Comprendre. Toujours comprendre. Moi, je ne veux pas comprendre. Je comprendrai quand je serai vieille. Si je deviens vieille. Pas maintenant."
(d) "Vous me dégoutez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu'il faut aimer coûte que coûte. On dirait des chiens qui lèchent tout ce qu'ils trouvent."
(d) "La vie n'est pas ce que tu crois. C'est une eau que les jeunes gens laissent couler sans savoir, entre leurs doigts ouverts. Ferme tes mains, ferme tes mains, vite. Retiens-là. Tu verras, cela deviendra une petite chose dure et simple qu'on grignotte assis au soleil."

(f) "Suis-je un enfant à problèmes ? Oui. C'est une façon de le dire."
(f) "Tais-toi, biquet."
(f) "En fin de chemin, je suis aussitôt rentré dans un arbre et je me suis fait une belle bosse sur le front. A ajouter à la liste des talents que je n'avais pas : la vision infrarouge. "
(f) "Peut-être que si je t'envoyais un bon coup de pied dans tes parties sensibles. Histoire de te rendre soprano pour la semaine."
(f) "J'ai dit bonjour au caniche rose."
(f) "Les seules choses auxquelles j'ai pu penser, c'était que les professeurs avaient dû découvrir le stock de bonbons que je vendais illégalement dans ma chambre. Ou bien qu'ils s'étaient rendu compte que j'avais pompé ma rédaction sur Tom Sawyer sur Internet sans avoir lu le livre et qu'ils allaient annuler ma note. Ou, pire encore, me forcer à lire le livre."
(f) "Peux-tu imaginer ce que cela représente, de ne jamais mourir? De ne jamais dépérir? D'exister tel que tu es, pour toujours?"
(f) "C’est vraiment remarquable, tout ce que les humains sont capables d’inventer pour forcer les choses à rentrer dans leur vision de la réalité. "
(f) "Difficile d'apprécier une bonne farce quand on a l'impression que la vie est une vaste blague."
(f) "Même des ennemis peuvent se respecter."
(f)" Tu ne seras jamais plus ravissante qu'à cet instant. Plus jamais nous ne serons seuls ici tous les deux."
(f) "C'est bon pour les hommes de croire aux idées et de mourir pour elles."
(f) "C'est plein de disputes un bonheur."
(f) " C'est très joli, la vie. Mais cela a un inconvénient, c'est qu'il faut la vivre."

(d) "Je ne connais pas la moitié d'entre vous à moitié autant que je le voudrais; et j'aime moins que la moitié d'entre vous à moitié aussi bien que vous le méritez."
(d) "Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous la leur rendre ?"
(d) "Ne soyez pas trop prompt à dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins."
(d) "Cogner sur les portes avec votre tête ! Et si ça ne les fracasse pas, et qu’on me libère un peu de toutes vos questions idiotes, j’essayerai de trouver la formule d’ouverture."
(d) "Je préfère partager une vie de mortelle avec vous que de devoir affronter tous les ages de ce monde toute seule."
(d) "C’est une étrange fatalité que nous devions éprouver tant de peur et de doute pour une si petite chose... une si petite chose..."

(f) "Pourquoi tant de peines et de doutes pour une si petite chose ?"
(f) "Chouette! où est ce qu'on va?"
(f) "Tout ce que nous ayons à décider, est quoi faire du temps qui nous est imparti."
(f) "Fuyez pauvres fous"
(f) "Vous ne passerez pas !"
(f) "Même la plus petite personne peut changer le cour des choses."
(f) "Mon précieux"
(f) "Il y a du bon dans ce monde, et il faut se battre pour y arriver."
(f) "Il y a des blessures qui ne guérissent jamais, quand elles ne vous dévorent pas tout entier."

(d) "Je suis un Jedi, comme mon père l'a été avant moi."
(d) "Allez Chico on met la gomme !"
(d) "Ça va peut-être pas sentir très bon... Mais au moins ça va te tenir chaud."
(d) "Missa accepté… Avec Maximax d'humilité."
(d) "Tu devais amener l'équilibre dans la force, pas la condamner à la nuit !"
(d) "J'ai l'impression que mes yeux vont mieux. Au lieu d'un grand flou noir, je vois un grand flou lumineux."
(d) "Missa causé peut-être une ou deux little piccoli accidente, disons boum le gaz, et carabouillis limousine big boss, alors bannis."
(d) "Non mais tu te prends pour un Jedi, ou quoi, à faire des passes avec les mains comme ça ?"
(d) "Pour une fois, laisse-moi te regarder avec mes propres yeux."
(d) "Si on réussit à éviter que les bonnes femmes s'en mêlent, on devrait pouvoir se tirer d'là."
(d) "Votre manque de foi me consterne."
(d) "Un objet ne peut pas vous rendre bon ou mauvais. Seul la tentation du pouvoir de la connaissance interdite ou même le simple désir de faire du bien peuvent conduire vers ce chemin. Mais seulement toi peux en changer."

(f) "Que la force soit avec toi."
(f) "N'essaie pas ! Fais-le ou ne le fais pas ! Il n'y a pas d'essai."
(f) "Si tu n'es pas avec moi, alors tu es contre moi !"
(f) "Je suis un gentil vaurien."
(f) "Le Bien n'est qu'une question de point de vue."
(f) "Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements."
(f) "Tu n'es pas tout puissant."
(f) "Vous voulez peut-être que je sorte pour pousser ?"
(f) "Est-ce que t'es un ange ?"
(f) "Tu sais, moi et les probabilités."
(f) "Tu sais contrôler ta peur. Maintenant, libère ta colère."
(f) "Il y en a toujours un pour manger l'autre."

(d) "Hé ben, si un jour j’oublie que je suis boniche, vous serez gentil de me le rappeler !"
(d) "J'pensais à une chose, en toute amitié, un gros pain dans votre tête, ça serait de nature à vous convenir ?"
(d) "Ouais c'est bien qu'on reste un peu dehors, comme ça j'pourrais vous mettre une grosse tarte en plein air."
(d) "Le cuir, ça restera toujours le cuir. Le cuir, ça traverse les âges, les frontières, les modes. D’autant qu’là j’vous ai pas mis d’la vache moisie. Attention ! C’est d’la tannerie d’luxe ! Assemblée au crochet de six ! Y'a des heures de main d'œuvre derrière !"
(d) "Hé ! Hééé ! J'suis pas une spécialiste, mais, à mon avis, là, vous allez mourir, hein !"
(d) "Mais y a rien à développer ! C'est de la merde, c'est de la merde, c'est tout ! Moi, on me sert ça dans une auberge, le tavernier, il s'prend une quiche dans sa tête !"
(d) "Vous dites pas : « Qu’est ce qu'il fait chaud… », vous dites : « La chaleur est un plat qui se mange froid. »"
(d) "On va vous envoyer un mec que en fait on dirait qu'il marche normalement alors qu'il marche alternativement à cloche pied sur chaque pied alors faites gaffe !"
(d) "Sans vouloir la ramener, la seule différence concrète avec des briques, c'est que vous appelez ça des tartes !"
(d) "J'estime que si on avale l'équivalent de son poids en viande deux fois par jour, il ne faut pas s'étonner de ne pas pouvoir mettre un pied devant l'autre sur un champ de bataille."
(d) "Non mais c'est à se coincer les parties dans une porte !"
(d) "Regardez moi la jolie petite paire de fillettes, si c'est pas fragile!"
(d) "Remarquez que moi j'ai un pote poissonnier qui sait boire du lait à la paille par les trous de nez !"
(d) "Faut faire comme avec les scorpions qui se suicident quand ils sont entourés par le feu, faut faire un feu en forme de cercle, autour d’eux, comme ça ils se suicident, pendant que nous on fait le tour et on lance de la caillasse de l’autre côté pour brouiller... Non ?"
(d) "Faut arrêter ces conneries de nord et de sud ! Une fois pour toutes, le nord, suivant comment on est tourné, ça change tout !"
(d) "Moi, j'serais vous, je vous écouterais... Non, moi, j'serais nous, je vous... Si moi, j'étais vous, je vous écouterais ! Non, elle me fait chier, cette phrase !"
(d) "Quand même, ils sont onze. J'ai calculé sur les treize dernières années, dans les deux heures qui précèdent le coucher du soleil, vous en êtes à une moyenne de 8,422."
(d) "De toutes façons, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc, si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
(d) "Là, vous faites sirop de vingt-et-un et vous dites : beau sirop, mi-sirop, siroté, gagne-sirop, sirop-grelot, passe-montagne, sirop au bon goût."
(d) "13, 14, 15... Enfin tous les chiffres impairs jusqu'à 22."
(d) "Non, vous, vous vous maravez. Quand on a pas de technique, il faut y aller à la zob."
(d) "Ou vous m'expliquez pourquoi vous rasez les murs comme un évadé de cachot, ou vous prenez ma main dans le pif !"
(d) "J'irai me coucher quand vous m'aurez juré qu'il n'y a pas dans cette forêt d'animal plus dangereux que le lapin adulte !"
(d) "La neige, on l'enlève, elle revient. Toujours. Encore et encore. Et nous, pauvres âmes chagrines, nous perdons notre regard dans l'horizon blanc de notre solitude."
(d) "Séchez vos larmes, je m'occupe d'aller chercher ces petites salopes par la peau du fion !"
(d) "Non mais j'vous écoute, j'vous écoute seulement j'vous préviens, j'vous l'dis, j'vais vous faire descendre en cabane avec un pichet de flotte et un bout de pain sec. J'suis désolé, j'suis démuni, j'vois pas d'autre solution. Et puis j'pense que ça vous donnera un peu l'occasion de... de réfléchir un peu à tout ça à tête reposée, de prendre un peu d'recul sur les choses."
(d) "J'en ai rien à foutre ! Vous pourriez vous marier avec une chèvre si ça vous chante. Et puis, si y en a une qu'est d'accord, rappelez-vous qu'c'est inespéré puis sautez sur l'occasion."
(d) "Et si je vous dis que vous êtes deux glands, là, vous avez du péremptoire. C’est vous qui voyez."
(d) "Y'a trop de clampins qui se disent poètes qui sortent la licence poétique dès qu'ils pondent trois merdes que personne comprend."
(d) "Franchement, j'ai connu des cafards moins opiniâtres..."

(f) "Si Monsieur et Madame préfèrent s'envoyer des fions dans l'intimité, je peux aussi me retirer."
(f) "Vous êtes une gigantesque tarlouze."
(f) "Alors, sans vouloir te commander, aurais-tu l'obligeance de bien vouloir te magner le cul."
(f) "Il faut dormir un peu, maintenant. Si si, maintenant. Parce que vous êtes fatigué. Et quand vous vous réveillerez, vous aurez oublié vos soucis."
(f) "Moi, un jour j’ai rêvé qu’y avait un type qui venait me voir. Il me dit : « Vous avez jamais connu vos parents ? » J’lui réponds « non ». Et là, il me dit : « Eh ben, vous inquiétez pas, ils sont fromagers. »"
(f) "Vous êtes des porcs !"
(f) "Ça y est… je vois trouble. C’est le manque de gras, je me dessèche."
(f) "Vous nous utilisez bon gré malgré pour arriver sur la fin."
(f) "La joie de vivre et le jambon, y'a pas trente-six recettes du bonheur !"
(f) "C'est pas faux !"
(f) "Vous allez pas être embêté avec une maîtresse qu’a plus d’mains ?"
(f) "Dites tout de suite que j'ai des idées de tocard !"
(f) "Faut toujours que vous veniez foutre votre merde, vous…"
(f) "Avec un pif pareil ils feraient mieux de chercher des truffes plutôt que de nous emmerder !"
(f) "Bon par exemple moi j'adore les fraises, bon bah si j'bouffe 3 bassines de fraises en 1 heure ah bah j'choppe la chiasse hein, j'suis comme tout l'monde hein..."
(f) "Ben moi en général, je lui réponds "merde". En principe ça colle avec tout."
(f) "En garde, espèce de vieille pute dégarnie !"
(f) "Mais allez-y bon sang, magnez-vous le fion, espèce de grosse dinde !"
(f) "Qu'est-ce qui est petit et marron ?"
(f) "Putain, en plein dans sa mouille !"
(f) "Toi un jour je te crame ta famille, toi."
(f) "Après demain, à partir d'aujourd'hui ?"
(f) "C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !"
(f) "Vous, vous avez une idée derrière la main, j'en mettrais ma tête au feu !"
(f) "Par exemple, je trouve que quand elle est partie du jour au lendemain sans prévenir, elle s'est conduite comme la reine des putes."
(f) "Y a pas à dire, dès qu'il y a du dessert, le repas est tout de suite plus chaleureux !"
(f) "Ah, mais des tanches pareilles, on devrait les mettre sous verre, hein !"
(f) "Non, moi j'crois qu'il faut qu’vous arrêtiez d'essayer d'dire des trucs. Ça vous fatigue, déjà, et pour les autres, vous vous rendez pas compte de c'que c'est. Moi quand vous faites ça, ça me fout une angoisse... j'pourrais vous tuer, j'crois. De chagrin, hein ! J'vous jure c'est pas bien. Il faut plus que vous parliez avec des gens."
(f) "Vous, vous devriez arrêter de sourire. J'vous promets; ça devient vraiment malsain."