• A partir du Samedi 12 et jusqu'au Lundi 14, vos deux admin's seront en vacances. Pour la moindre question, le moindre problème, contactez KANG OANH
• Nous sommes en surplus évident de chimères. On ne ferme pas le gang, obviously, mais si vous pouviez privilégier les autres gangs, particulièrement les alchimistes, sages et sans-gangs, ce s'rait cool.
au bout d’une semaine d’école, ils comprirent combien ils avaient été bêtes de ne pas rester dans 1’lle, mais c’était trop tard ; bientôt ils se rangèrent et devinrent aussi ordinaires que vous ou moi ou dupont junior. chose triste à dire, ils perdirent peu à peu le don de voler. au bout d’une semaine d’école, ils comprirent combien ils avaient été bêtes de ne pas rester dans 1’lle, mais c’était trop tard ; bientôt ils se rangèrent et devinrent aussi ordinaires que vous ou moi ou dupont junior. chose triste à dire, ils perdirent peu à peu le don de voler.
après
temps d'exil ; deux années. crime présumé ; un délit mineur, il s'est introduit par effraction dans le bâtiment d'une grande entreprise avec trois complices, tous déguisés en clown, et ils ont gaiement déboulés en pleine réunion annuelle, grimpants et dansants sur les grandes tables, ils ont légèrement dégradés les lieux avant de se faire arrêter par la sécurité; innocence ; absolument coupable, et il en rit encore quand il y repense. casier ; c'est un habitué des commissariats, des petits délits. quelques vols à l'étalage, des dégradations de bien publics - souvent des tags, il est plutôt doué, c'est un naturel dans tout ce qu'il entreprend, même l'illicite - des agressions mineurs - des petites bagarres - gang ; les sages, les réalistes, ceux qui regardent l'horizon en fumant tout en relativisant sur la situation actuelle. il est un maitre jedi. avatar ; im jae bum (jb - got7)
sages
avant
âge ; vingt-deux ans de conneries, ou presque. lieu et date de naissance ; le vingt-trois novembre à daejeon, corée du sud. origines ; coréennes. statut social ; électron libre. classe social ; ₩₩
l'île, c'est comment ?
tu regardes souvent l'horizon, perché sur un rocher. casse-cou dans l'âme, tu grimpes, tu glisses avec tes baskets trouées sur le rocailleux mouillé. mèche dans les yeux. vent marin sur la peau. le solitaire. le sage en quête d'une paix intérieure. ce n'est pas rare que tu sois assis seul face aux vagues. dans tes moments calmes, comme lors de tes tempêtes. tout le monde sait que le maitre jedi à la paupière peuplée de grain de beauté a besoin de se retirer de temps en temps. son havre de paix. toujours au même endroit. le rocher de la pensée. c'est ton coin. tu reçois des amis ici, aussi. tu leurs dis de regarder les vagues, la puissance de l'eau, la violence des écumes. tu philosophes sur tout et son contraire. tu regardes les vagues, une marie-jeanne aux lèvres. tu penses. tu réfléchis. tu es pessimistes. tu n'as pas beaucoup d'espoir pour l'avenir. tu te révoltes d'un coup, poussant un cri. puis tu retournes méditer. le yin et le yang. c'est ça, être toi. comprendre ta place dans ton monde mais ne pas l'accepter. être pessimiste pour ton cas tout en ayant un brin d'optimisme pour les autres. tu t'entends bien avec les sages puisque ces derniers se sont mis d'accord pour ne pas te déranger plus que nécessaire. tu essayes d'être amical. mais tu ne trompes personne. on te sait instable. tu le sais. tu es un loyal. tu es un protecteur. tu protèges ta famille, tes trois fous. du haut de ton perchoir, tu veilles sur les oisillons, qu'ils ne se brisent pas les ailes. tu es toi-même avec eux. ils t'acceptent comme tu es. ils savent que tes sautes d'humeurs ne te définissent pas. c'est compliqué d'être toi. c'est compliqué de vivre sur cet île, de calmer l'ouragan dans ton cœur. tu déclenches des tempêtes pour un rien et tu essayes de revenir aux eaux tranquilles. au fond, peu te connaissent vraiment, car tu ne laisses pas n'importe qui voir sous le masque. tes sourires sont parfois vrais, parfois faux. tes rires sont souvent sincères (marie-jeanne oblige) sous la fumée. sous l'étiquette du génie faiseur d'herbe. du biologiste. tu y penses, sur ton rocher ? dans deux ans, que va-t-il se passer pour toi, maitre jedi ? arrêtes de réfléchir et planes. plantes tes pousses, veilles sur tes frères et vis ta vie. tu crèveras plus tard.
ton rêve, c’était quoi ?
une photo chiffonnée dans la poche arrière de ton futal. elle est aussi vieille que toi. jamais elle ne te quitte. personne n'a le droit de te la prendre. le sourire de ta mère. perdue, disparue. comme ton avenir. lorsque personne ne regarde, tu la scrute avec nostalgie. traîtresse nostalgie qui régie ton cœur. cruelle. désolé, maman. tu murmures. tu n'es pas le médecin qu'elle souhaitait. tu n'es rien de ce qu'elle souhaitait. un voyou. ton instabilité se ressentait aussi dans tes études. tu ne faisais aucun effort. tu te contentais d'être dans la moyenne. s'il fallait revenir dans le top pour un examen, aucun problème, tu le faisais. la preuve que tu prenais tout cela à la légère et tu exaspérais tes professeurs. pourquoi ? c'était la question qui revenait le plus souvent. tu as postulé pour l'université de ta ville natale, une des meilleurs du pays et tu as été accepté, sans mal. pourquoi ? c'est énervant les personnes comme toi, sang kil. qui peuvent tout avoir mais qui ne font rien. mais toi, tu t'en fous. elle est morte, ta motivation. tu as choisi kaist parce que ça te rapprochait de la ville de ta défunte. tu as fais des conneries. sous la colère. pour envoyer chier ce monde injuste et merdique. et tu les as rencontrés. ta vraie famille. pas les hypocrites de ton foyer. les trois mousquetaires, athos porthos et aramis, tu étais d'artagnan. tu as commencé à te révolter un peu plus chaque jour. contre l'autorité, contre le pouvoir. t'avais jamais encadré les puissants. tu étais toujours celui qui trouvait les idées les plus cons, mais brillantes à la fois. tu es, étais et seras toujours un génie, quel que soit le domaine. tu as emmerdé des grandes sociétés, jamais de petits commerçants. tu aimais bien te balader la nuit dans les rues commerçantes avec tes frères d'armes. à chercher les emmerdes à qui de droits, sans jamais être fondamentalement méchant. au final, commissariat, excuses ratées, faux repentis et terribles promesses de ne plus jamais recommencer. tu aimais bien monsieur hak, votre policier. le votre, oui. celui qui espérait ne plus vous voir et qui soupirait quand il voyait vos têtes blondes, vos bouilles presque désolées, passer le seuil de la station de police. vous faisiez des conneries. des petits délits. des dégradations. des bagarres. des trucs de voyous. mais tu te sentais vivre, au moins. alors que tu t'en foutais de ta vie après le décès de ta mère, ils t'ont ramenés à la raison. eux, juste eux. il fallait profiter, bordel. mettre de l'huile sur le feu. être vivant. ça valait le coup de se retrouver sur l'île du désespoir ? faire chier des pétés de thunes de la manière la plus inoffensive possible, ouais. vous avez tellement rit ce jour-là. tu ressens encore tes côtes aux aboies alors que tu revois tes clowns chanter et danser, dessiner des teub sur les statistiques de l'entreprise. ça vaut toujours le coup.
je sais pas quoi dire lol. bonjour. lol. asv, cc tu bez. en vrai j'ai 23 piges (j'allais écrire 22 car j'sais plus mon âge, aight) et j'suis une donzelle qui aime bien la dentelle et les bretelles. azy. vous êtes sexy. ce pv m'a tapé dans les DEUX YEUX. rien que ça. JB is life. y'a pas assez d'avatar de lui sur internet, what r u doing, internet. jsuis pas douée en plus avec toshop, tu m'aides pas bro. vous êtes tous beaux. j'espère pas faire de conneries, j'ai trop de pression en moi. ah et j'ai une figurine d'1m de kylo ren dans ma chambre, c'est marrant. (3615 mylife mais voilà, j'aime tout dans ce pv, même son rang, boutifoule) bah bisous.
sha
Dernière édition par Lee Sang Kil le 03/05/16, 07:54 am, édité 2 fois
Invité
Invité
@Invité
Sujet: Re: torn apart (sang kil) 03/05/16, 07:44 am
crise d'adolescence
elle te disait de compter jusqu'à dix en fermant les yeux paupières fermées
un. tu chiales comme un gamin devant son portrait. les funérailles sont courtes. il n'y a pas beaucoup de monde. juste toi, une tante, un cousin et des fleurs. tu es habillé d'un costume noir mal boutonné, d'une chemise froissée. tu as quatorze ans et tu es orphelin. tu aimerai bien disparaître de cette vie. fermes les yeux sang kil. tu la vois te sourire, te caresser la joue, te serrer dans ses bras. tu n'es pas un enfant modèle. tu fais des conneries. mais tu étais son fils. le sien. le seul. tu serres les poings jusqu'à t'en faire exploser les veines.
deux. la maison du bonheur. tu parles. tu ricanes. le foyer pour les jeunes en détresses. il y a des dessins d'enfants partout sur les murs. tu te crois dans une maternelle. tu vis dans un dortoir avec trois autres adolescents dans ta chambre. les lits superposés. tu as la place du dessus. le gamin d'en dessous pleure toutes les nuits. toi, tu as seize ans et tu es en colère. le chagrin est passé. tu es agacé. tu déprimes. tu es dans une période étrange. pour ne pas te faire renvoyer de ton lycée, tu es passé des dix derniers du bahut aux dix premiers. tu fumes. tu bois. tu casses des trucs.
trois. le nez en sang. le rouge qui se glisse sur le blanc de tes dents. la langue qui effleure la lèvre supérieure. à terre. la tempête est passée. il te tend une main sûre. ses doigts sont écorchés et tu ricanes. vous vous êtes pris une raclée. tu ramasses ton briquet, lui, ses pétards. tu éprouves une irrésistible envie de tout faire péter avec lui. c'est qu'un gamin perdu comme toi. tu as pris le poing du commerçant à sa place après avoir ruiné les mannequins d'exposition de luxe à coups d'explosifs juvéniles. tu n'es plus seul. tu te relèves et tu passes ton bras par-dessus son épaule, en lui ébouriffant la tignasse au passage. tu as un frère pour la première fois en dix-sept ans.
quatre. au départ seul, tu ne l'es plus. tu déboules sur la rampe d'un escalier et tu atterris sur le dos de nam woo. tu habites toujours ton foyer, tu as dix-huit ans. mais tu fais tes conneries avec une famille maintenant. tu enseignes les ficelles du métier au riche qui débute dans le métier des casses-couilles mais qui apprend vite. tu regardes les deux autres comme un grand frère regarde les deux jumeaux un peu attardés mais mignons de la famille. vous êtes les pires. tu as trois frères maintenant. il est fort, le dernier de la fratrie. même si plus jeune que toi. tu es l’aîné, le fort, le responsable. il te porte sur son échine, tu te reposes sur lui. t'es pas dans une maison. t'es pas dans un foyer. t'es dans la rue, à deux heures du matin. mais tu te sens chez toi. tic et tac vous singent et l'un se retrouve sur le dos de l'autre. quatre gosses. vous commencez à vous chamailler, à vous courir après. à hurler votre bonheur dans la rue, sous les étoiles.
cinq. la station de police, encore une fois. tu as baissé ton pantalon et montré tes fesses à une voiture des forces de l'ordre, pendant que les trois autres taguaient un mur, le mur de ton foyer d'ailleurs. les petits soleils et les licornes, ça va cinq minutes. tu es assis au bureau d'un visage familier. tu lui souris pendant que les trois autres sont derrière toi, chacun sur une chaise, la tête baissée mais le sourire non-dissimulé. tu t'excuses. tu prétextes une défaillance au niveau de la braguette en ricanant. tes protégés pouffent tous de rire de façon synchronisée. l’officier te donne une petite tape sur le haut du crâne. tu sens l'affection de son geste. à force de vous voir, c'est une sorte de père spirituel. il doit avoir un mauvais karma pour vous avoir sur le dos en permanence. il hausse le ton alors que le reste du commissariat vous regardent avec un certain mépris. c'est le seul pour qui tu as du respect, le seul que tu fusilles pas du regard.
six une petite vengeance. tu le vois encore passer avec sa grosse voiture devant toi, te klaxonnant. dégages de son passage ou il t'écrase. les puissants, ça t'énerve. vous l'avez suivi jusqu'à son entreprise. les clowns, c'était l'idée de won bin. tu admets volontiers ta défaite face à l'idée farfelue de ton frère. la danse et le chant ? un vote collectif. allons les faire chier. qu'ils se la pètent pas trop avec leurs bagnoles. tu ris tellement. tu pleures, tes côtes te font tellement mal que tu es à terre. ils vous regardent tous, stupéfaits. won bin danse. nam woo dessine des teubs sur les statistiques et bool am chante à s'en faire péter les cordes vocales. toi tu meurs au sol, tellement tu ris. la sécurité arrive, tu te relèves. ils vous maîtrisent plutôt facile, vous n'êtes pas venu vous battre. simplement illustrer un propos. tu frappes dans la main de chacun de tes frères avant d'être mis à terre.
sept il ne sourit plus. le procès est terminé. la sentence est lâché. vous êtes exilés. tu es un danger pour la société, sang kil. toi et ton uniforme de clown. ça te fait grincer des dents. tu regardes tes frères qui reçoivent le même châtiment. tu restes avec eux. c'est bien. l'officier de police s'avance vers vous. les quatre terreurs de son quartier. tu penses te faire menotter. te prendre une tape sur la tête, comme d'habitude. mais tu es serré contre tes frères, entre ses bras de quarantenaire. le silence règne dans la salle d'audience. il y a juste les sanglots de l'homme qui viennent s'écraser à ton ouïe. tu ne sais pas pour les autres mais tu laisses ton front entrer en collision contre le torse du policier. tu te laisses aller quelques secondes. tu payes pour ta vie de petits délits ? tu ne sais pas ce qu'il t'attend. mais tu comprends ce que monsieur hak essaye de dire. tu les protégeras.
huit tu as vingt ans. c'est plus facile maintenant. tu prends tes repères sur l'île. tu fais connaissances avec les autres exilés. tu es un sage. un savant. un biologiste. tu te rends utile. ils ne sont pas avec toi mais tu veilles toujours sur eux. tu es le sage dont trois frères sont alchimistes, vous êtes plutôt connus. tu commences à fumer régulièrement. tu apprends à cultiver. tu sais que les sages te correspondent, même si tes sautes d'humeurs t'isolent de beaucoup d'entre eux. tu es le moins calme des sages et pourtant, tu as trouvé une sorte de paix avec toi-même. parfois tu penses à ta vie en corée du sud. tu penses à ton foyer. merde, tu penses à la station de police.
neuf tu n'es plus padawan, te voilà maître. tu n'étais pas du tout le favoris pendant les tests. mais comme d'habitude tu as fournis les efforts moyens et tu as étonné tout le monde à la fin. même sur une île coupée du monde, même en exilée, tu restes un génie paresseux. tu régis les serres où sont cultivées les substances illicites et plus ou moins naturelles. tu passes beaucoup de temps seul, quand tu n'es pas sur ton territoire. sur ton rocher, au bord du vide. tu regardes les vagues. l'horizon. certains de tes frères te rejoignent avant de t'embarquer dans leur conneries. ça ne changera jamais, heureusement. tes sautes d'humeurs sont plus fréquentes qu'avant l'île. peut-être est-ce parce que tu t'inquiètes plus pour tes frères, après tout vous êtes entourés de gamins bien plus dangereux que vous. peut-être que c'est parce que tu te sens coupable d'être ici, avec eux. peut-être parce que tu veux partir. foutre en l'air cette île. tu serres les dents. c'est un système pourri. tu ne vas pas crever ici. et tu hurles. tu casses. et tu te calmes. maintenant que tu es maître, on te pardonne plus facilement ton comportement. tu es plus respecté. les serres ne sont jamais aussi bien portées depuis que tu y vagabondes.
dix tu as compté jusqu'à dix. tes paupières s'ouvrent. es-tu calmé ? est-ce que le moment difficile est passée ? non, n'est-ce pas ? ce n'est jamais aussi simple. pourtant tu t'emploies à toujours effectuer cette petite astuce transmise par ta mère, pour calmer tes nerfs à vifs. dix secondes à te concentrer sur ta respiration et tout ira mieux. mais toi, quand tu fermes les yeux, tu vois tes erreurs. tu vois l'île. l'eau sans fin. tes frères enchaînés comme toi à la roche. non, tu ne pourra jamais te calmer, être un sage comme les autres. c'est ce qui attire et repousse à la fois. tu es unique. souriant, altruiste, bon-vivant, mais sombre et solitaire à la fois. tu restes un casse-couille de première, dans le fond. vieillir ne changera jamais ça. devenir maître jedi non plus. plus que les serres, que les sages, tu te sens responsables de tes frères. de ta famille.
Dernière édition par Lee Sang Kil le 04/05/16, 01:59 am, édité 4 fois
Invité
Invité
@Invité
Sujet: Re: torn apart (sang kil) 03/05/16, 11:49 am
BIENVENUEEEEEE Popopoh le début de ta fiche envoie du lourd boy :oo: Hâte de lire ton histoire Fighting, encore une petite partie et tu rejoins les fous
Invité
Invité
@Invité
Sujet: Re: torn apart (sang kil) 03/05/16, 12:14 pm
comment il ose me piquer ma place le p'tit là ? :69:
pfiou. en tout cas. j'aime que t'ai pris sang kil. je t'aime. voilà. :77: en plus, t'as bien choppé l'idée du perso on dirait, donc...ouais. :126: bonne chance pour ton histoire (j'aime le début de ta fiche, ta façon d'écrire et tout ça) :hoonheart: et j'aime que t'aime kylo ren. imean. kylo ren ftw un peu :151: si t'as la moindre question, hésite surtout pas à me MPorner. j'adore ça :plz:
bonus:
and...j'aurais pas dû me perdre sur le 2jae post de tumblr. sorry que ça ait pris si longtemps avant que je poste ici
(aussi, si tu veux, t'as qu'à demander et je te fais pleiiiiiiiiiiiins d'avatars :hoonheart: )
Invité
Invité
@Invité
Sujet: Re: torn apart (sang kil) 03/05/16, 12:56 pm
perso j'avais vu mais j'ai voulu laisser la première place à won bin /out bienvenue et fighting pour ta fiche ! :hoonheart: et bon choix de pv :bave:
Invité
Invité
@Invité
Sujet: Re: torn apart (sang kil) 03/05/16, 01:48 pm
Bienvenue ! Oh la la !!!! J'ai hâte de lire cette histoire ! Bon courage pour ta fiche!
Invité
Invité
@Invité
Sujet: Re: torn apart (sang kil) 03/05/16, 04:29 pm
yuta → kookie merci mon petiot, tou è si mignon, i can't. :136:
won bin → bravo bro, même pas le premier :russe: non mais tavu, j'ai carrément craqué sur ce pv. et la relation entre les 4, i mean, voilà. t'sais que j'ai passé genre 2h sur le tag 2jae avant de poster ma fiche ? (pour des raisons purement profesionnelles, ofc ) genre, i feel u so much. j'vais venir te harceler par mp très vite, tkt. (j'suis entrain d'écrire le mp en même temps, multifonction :russe: )
no homo:
srsly le dernier on dirait une photo de mariage
harley → vous êtes beaux, c'est ouf. merci à toi, je ne suis qu'émotions.
kyung hong → trop de classe en toi, tu m'aveugles merciiii :hoonheart:
Invité
Invité
@Invité
Sujet: Re: torn apart (sang kil) 04/05/16, 02:22 am
welcome to burlesque wonderland
c'est...c'est...trop d'émotion en moi là. j'aime ta façon d'écrire. j'aime ta façon de voir le personnage. j'aime. enfin voilà. nous manque plus que les deux autres, et on sera au complet bro'. enfin ouais. ta fiche est magique. je m'en remets pas genre. :77:
WELL DONE QUOI.
Maintenant que t'es validé, tu peux t'amuser. Tu peux créer tes scénarios, ou tes pré-liens. Tu peux aller créer ta fiche de liens, parce l'aventure est toujours mieux quand on est pas seuls. Ensuite, étape importante pour ton intégration et pour ton rang, va flooder dans ton gang. Oublie pas d'aller flooder tout court. Et aussi, va voter !
Ah et aussi. Amuse toi. Même si c'est secondaire :22:
:15: vous le sentez le pouvoir de l'humour nul de vos admins
Invité
Invité
@Invité
Sujet: Re: torn apart (sang kil) 04/05/16, 02:35 am
merci mon bro, je suis émotion. j'ai hâte que les deux autres se pointent, ouais. :136: